Nos actualités

  • Fondation OPEJ
Le quotidien des enfants, des jeunes et des familles est ponctué d’évènements, de fêtes et de projets conduits tout au long de l’année dans nos services. L’art, la culture, les sciences, le sport, sont présents dans les activités proposées sous formes d’ateliers organisés avec des intervenants ou sous forme de sorties culturelles ou de voyages à l'étranger. La fondation OPEJ organise des évènements forts pour présenter ses activités ou réfléchir à des questions qui animent le domaine de la protection de l’enfance. Retrouvez ici nos actualités.

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Actualités

  • Confiner et continuer

    Confiner et continuer

    2020-03-25
    Tous les métiers de notre institution sont confrontés à des mesures de précaution ou à des réorganisations urgentes pour endiguer la propagation du virus et en préserver les plus faibles.

    Par décision des autorités publiques, la totalité des services éducatifs de jour (AEMO, SAFEJ, EFAJE, SAJE et MFC) et de prévention spécialisée (Paris 19ème, Garges-lès-Gonesse et Paris) sont en veille.
    Les éducateurs et psychologues, au télétravail, maintiennent un lien permanent par téléphone et les réseaux sociaux avec les enfants, jeunes et familles.
    Ces derniers jours, des visites à domicile se sont organisées pour approcher, en toute sécurité, certaines familles pour apporter aide, soutien et matériel éducatif ou de loisirs.

    Nos équipes restent en contact avec vous.
    Pour les joindre, vous pouvez consulter la page contact

    Alors on danse ?
    Dans cette période si particulière de crise sanitaire et d’urgence de santé publique de portée internationale, tous nos repères sont bousculés : le temps, l’espace et surtout le lien social, qui animent quotidiennement nos vies, nos métiers. La période de confinement ne doit pas nous empêcher de continuer à réfléchir, agir et engager une solidarité.
    La situation est aussi révélatrice de nos fonctionnements institutionnels, de nos forces et talents, mais aussi de nos manques et difficultés. Viendra le temps d'analyser cette période inédite, de faire perdurer les apprentissages, les innovations et de faire valoir les réussites que nous aurons su atteindre. La protection de l’enfance traverse une épreuve, une véritable tempête…
     
    Pour celles et ceux qui sont « au front », nous souhaitons la force et l’énergie nécessaires pour que s’exercent au mieux les missions en direction des enfants, adolescents et adultes les plus vulnérables et les plus isolés de notre société.

    Bon courage à toutes et tous.
    Prenez soin de vous et des autres.

    « La vie, ce n’est pas d’attendre que l’orage passe, c’est d’apprendre à danser sous la pluie. » Sénèque
    Alors dansons !

    Johan Zittoun, Directeur général


    #RestezChezVous
    #solidarité
  • Rencontre avec Amadou Marikou

    Rencontre avec Amadou Marikou

    2020-02-05
    Nous avons rencontré Amadou Mariko, un jeune réalisateur d’à peine 30 ans, fondateur de la société de production audiovisuelle 5ème colonne films. Le jeune Sarcellois qui a aujourd’hui mille projets sur le feu, a croisé l’OPEJ à un moment de sa vie où il avait besoin d’être soutenu. Retour sur son parcours incroyable.


    - Dans quelles circonstances avez-vous connu l’OPEJ ? 
    Je vis à Sarcelles depuis que j’ai 9 ans. Vers 18-19 ans, je me trouvais dans un moment particulier, je n’avais pas eu mon bac et j’étais admis dans aucun établissement scolaire à la rentrée… Clara, Sofia et Aïcha, éducatrices du Service de prévention spécialisée de l’OPEJ à Sarcelles m’ont abordé et demandé ce que j’avais envie de faire. Tout de suite, je leur ai parlé de mon envie de faire du cinéma. Cette rencontre a été déterminante dans mon choix d’orientation. Elles m’ont d’abord aidé à trouver un établissement scolaire à Longjumeau, puis j’ai fait un BTS en industrie graphique. Les éducatrices m’ont poussé à présenter ma candidature pour bénéficier du dispositif EVA "Entrée dans la vie active", visant à soutenir les jeunes Valdoisiens dans la réalisation de leur projet professionnel, porté par le Conseil départemental du Val d’Oise. Ça a marché et j’ai pu ainsi faire une école de cinéma à Aubervilliers.


    - En quoi cette rencontre vous a aidé dans votre parcours ?
    Tout d’abord, l’OPEJ a ouvert mon horizon. En 2014, je suis parti 10 jours en Inde avec les éducatrices pour participer à un stage photo avec un artiste. Ce voyage a changé ma vie. Sans l’OPEJ, je ne serai pas parti spontanément dans ce pays. J’ai pu rencontrer d’autres jeunes de ma ville, à qui je ne parlais pas à Sarcelles et aujourd’hui encore, nous avons gardé un lien parce que nous avons vécu une expérience unique là-bas. Par notre projet, nous avons apporté une certaine lumière aux veuves indiennes.

    Après l’école de cinéma, j’ai eu mon premier contrat, j’ai réalisé un film de commande pour la Ville de Sarcelles. Encore une fois, l’OPEJ m’a aidé. Les éducatrices étaient très présentes, m’ont énormément soutenu et conseillé, …  j’avais même du mal « à couper le cordon ». Elles m’ont poussé à aller de l’avant.

    J’ai également pu bénéficier d’un programme de parrainage que l’OPEJ a mis en place avec le groupe Edmond de Rothschild. Ma marraine, Violaine Cibot m’a apporté de véritables conseils, elle m’a permis d’analyser la situation dans laquelle je me trouvais et de faire les bons choix. Je lui avais parlé d’un film sur la danse que j’étais en train de réaliser. Elle m’a présenté un producteur, nous sommes en discussion, c’est sur la bonne voie. A suivre, donc…

    - Visiblement, votre ténacité et toutes les opportunités que vous avez su saisir ont porté leurs fruits ! Jeune, vous étiez suivi par l’OPEJ, aujourd’hui vous portez un projet que vous menez avec des jeunes d’une classe du Collège Voltaire à Sarcelles en partenariat avec le service de prévention spécialisée de l’OPEJ. Quel parcours ! Quel est ce projet ? Pouvez-vous nous le présenter ?
    Depuis la rentrée 2019, ce projet de réalisation d’un court-métrage a lieu tous les mercredis et s’adresse à des jeunes de 4ème et 3ème, particulièrement en difficulté scolaire ou exclus des autres et qui ont besoin de se remobiliser. Nous travaillons sur les thèmes de l’exclusion, du vivre ensemble, du faire ensemble. Avec l’aide d’un intervenant, les élèves découvrent à travers des ateliers, les différentes étapes liées à la réalisation d’un film (scénario, découpage technique, direction d’acteurs, réalisation et montage). Le film sera terminé en juin et nous le présenterons dans des festivals. Il pourra également servir de support pédagogique aux établissements scolaires du Département du Val d’Oise.

    - Selon vous, qu'est-ce que l'art peut apporter dans la vie d'une personne ?
    Le fait de créer permet de travailler sur l’estime de soi. En faisant, on prouve qu’on est capable. C’est extrêmement valorisant quand on a un retour, quand on reçoit des applaudissements, des rires… L’art permet également de rencontrer l’autre, de partager les mêmes problématiques, les mêmes valeurs.

    - Aujourd’hui, quels sont vos projets ?
    J’aimerai ouvrir un lieu de ressources où les jeunes pourront venir travailler sur leurs projets, tout en étant conseillés, encadrés par des professionnels. Un Fab lab consacré à l’audiovisuel. Quand j’étais à l’école de cinéma, j’avais à ma disposition les outils pour créer, une salle où me poser pour écrire, des caméras pour tourner, une salle pour le montage, etc, tout ça jusqu’à 1 heure du matin. C’était formidable d’avoir ce lieu pour travailler. J’aimerai proposer aux jeunes un lieu comme cela à Sarcelles, avec également une salle de projection pour diffuser au public les productions. Je suis en train de monter le projet, je cherche des financements, des partenaires.

    J’organise également un festival « 48 heures » où les participants créent des films en 2 jours, de l’écriture au montage. Nous allons organiser une session en avril avec des jeunes suivis par le service de prévention de Sarcelles. L’objectif est de fabriquer des films qui seront des outils de lutte contre les discriminations. Une cinquantaine de jeunes participeront et par groupe de 5 à 10 personnes, ils travailleront à la réalisation d’un court-métrage de 7 minutes. Il y a, à la fin un palmarès avec des prix décernés. Ce festival est également décliné à Pantin, Bordeaux et bientôt Stains.

    - Où peut-on voir ce que vous faites ?
    Toutes mes actualités sont annoncées sur les réseaux sociaux, mon compte Facebook et Instagram.

    - Aujourd’hui, quels conseils, quels messages vous donneriez à des jeunes ?
    Je conseille d’être toujours en mouvement, d’être toujours actif. « Ce qui ne bouge pas, meurt ! ». Ne pas avoir peur de faire, de se lancer. Il faut croire en soi et faire les choses en conscience et se sentir responsable de ce qu’on fait.
    L’autre jour, j’ai été invité à une rencontre organisée par le Ciné 104 à Pantin dans le cadre de leur festival « Repérages ».
    C’était une rencontre assez particulière pour moi car pour la première fois je n’étais pas dans le public, mais du côté des professionnels !

    C’est une bonne reconnaissance. Nous continuerons à vous suivre et à donner des nouvelles de vos projets ! Merci Amadou.

        Propos recueillis par Virginie Delumeau, le 3 février 2020
  • Gad Elbaz vient de clôturer une belle carrière à la Fondation OPEJ.

    Gad Elbaz vient de clôturer une belle carrière à la Fondation OPEJ.

    2020-02-07

    Elle s’est inscrite dans la durée, la constance, la disponibilité, la créativité, la bientraitance, la solidarité et la progression…

    Il laisse une empreinte indéniable auprès des éducateurs avec lesquels il a travaillé et qu’il a accompagné toutes ces années dans les différents services de l’OPEJ.

    D’abord animateur en prévention spécialisée à Sarcelles, puis éducateur dans les années 80 auprès de jeunes adolescents en difficulté en maison d’enfants, il a toujours vu en leurs potentialités et su développer un lien de confiance pour qu’ils s’inscrivent dans leur évolution…

    Tout naturellement, ses qualités d’analyse et de réflexion l’ont amené à diriger des équipes éducatives en tant que chef de service pendant plusieurs années. Soucieux de soutenir la responsabilité des éducateurs dans leur pratique quotidienne, insistant sur l’importance du regard positif envers l’enfant, la qualité de l’écoute et le respect de chacun en tant que sujet de son histoire mais aussi attentif à la lecture psychologue de la situation et de l’approche analytique… Sa disponibilité sans faille a contribué à créer un climat de sécurité autour de lui.

    Il a été un précieux soutien pour les directeurs d’établissement par sa connaissance
    du terrain, son sens aigu des responsabilités et son regard affiné sur les situations.

    Gad a initié de nombreux projets éducatifs avec les adolescents encadrés de leurs éducateurs les impliquant dans une démarche alternative de recherche de connaissance, de sens et d’engagement citoyen soucieux, qu’ils évoluent dans leur quête identitaire.
    Quelques exemples de projets avec des adolescents des 2 Maisons d’enfants : un voyage en Europe, « à la recherche des communautés perdues » et en 2008, le projet « Comment vivre ensemble, voyage de mémoire en Pologne ». À travers ce projet, les questions d’identité, de relation à l’autre et de transmission ont été interrogées après trois ans de préparation, de recherche sur la Shoah et sur les mécanismes génocidaires de ces dernières décennies. Puis plus récemment, un projet de médiation interculturelle avec des jeunes de Sarcelles, Garges-lès-Gonesse, de Jérusalem et du village arabe d’Abu-Gosh dont le film d’Anne Lainé,« La Fourchette »,  en témoigne.

    Gad Elbaz devient co-directeur général de l’OPEJ et avec son alter-ego Johan Zittoun, aujourd’hui directeur général, ils vont répondre aux défis de la politique sociale et éducative. Pour répondre aux besoins de la société, ils vont ouvrir de nouvelles structures de soutien à la parentalité dans les 3 départements où la Fondation agit.

    La bienveillance de Gad nous rappelle qu’elle est essentielle dans toute entreprise humaine…

    Gad, nous te souhaitons le meilleur…

    Joëlle Scialom
    psychologue et psychanalyste
    février 2020
  • Prix coup de cœur du jury pour le projet « Remember and Share » !

    Prix coup de cœur du jury pour le projet « Remember and Share » !

    2020-02-07

    Le projet porté par des jeunes accompagnés de Juliette Fressonnet et Isabelle Veillon, éducatrices de notre service de prévention spécialisée de Garges-lès-Gonesse est désormais récompensé par le prix « Coup de cœur du jury » de la 12e édition du concours des « Rencontres du Développement Social » organisé par L’APES pour le compte de Seqens, in’li et Erigère, acteurs majeurs du logement social et intermédiaire en Ile-de-France.
    La remise des prix a eu lieu jeudi 12 décembre 2019 à la Maison des Océans (Paris 5e).
    Les lauréats ont reçu un trophée et un chèque de 1000 euros pour les accompagner dans leurs futurs projets. 
    Avant chaque prix, une « grande dame de l’humanité » a été présentée. Pour l’OPEJ, le Président du jury avait choisi Simone Weil.
    Les projets présentés sont portés par des associations agissant aux côtés des équipes de gestion de proximité des bailleurs et de l’APES sur des quartiers sensibles, principalement en politique de la ville.
    Ce concours et la soirée de remise des prix permettent de mettre en lumière toutes les initiatives portées par des habitants, des bénévoles et des professionnels qui inventent de nouvelles façons de vivre ensemble. La soirée de remise des prix donne à voir les quartiers sous un autre jour : elle montre toute l’innovation, les initiatives et l’énergie qui s’y déploient. Pour cette 12e édition, plus d’une centaine d’associations issues de toute l’Île-de-France étaient représentées.

    Au cours de ces 12 années, ce concours a mobilisé près de 1 500 associations et a réuni plus de 6 000 personnes.
  • Accompagner les familles dont les enfants sont mêlés à des rixes

    Accompagner les familles dont les enfants sont mêlés à des rixes

    2020-02-06

    Le terme de rixes est employé lors de querelles violentes entre deux ou plusieurs personnes souvent accompagnées de menaces et de coups qui a lieu dans un lieu public. Plusieurs jeunes étant morts dans des rixes ces dernières années à Paris, la Ville s’engage et lance un dispositif de stratégie parisienne de la prévention des rixes.

    Dans ce cadre, la Maison des familles et des cultures a présenté à la Ville de Paris un projet d’accompagnement des parents qui a été retenu et pour lequel le service a reçu une subvention. L’objectif est d’accompagner les parents dont les enfants ont été mêlés à des rixes et qui sont confrontés à l’agressivité de leurs enfants et qui ne savent pas toujours poser les limites, parfois par crainte de perdre leur affection. Ces dysfonctionnements familiaux occasionnent souvent des prises de risques chez les jeunes : conduites addictive, troubles alimentaires, phobie scolaire, échec et déscolarisation, suicides, fugues, agressivité, incivilité, non respect de l’adulte, problèmes identitaires des jeunes, errances, marginalisation.

    La participation à ces violences urbaines peuvent entrainer des risques de condamnation et aussi la perte d’un enfant.

    En lien avec des acteurs de terrain associatifs ou institutionnels, l’équipe de notre service accueille les familles confrontées et après un diagnostic individualisé, elle

    propose un accompagnement des parents avec des entretiens psycho-éducatifs, des entretiens thérapeutiques individuels, des médiations, des groupes de paroles de parents et fratries ainsi qu’un soutien éducatif et social. 

    Le dispositif d’accompagnement s’exerce pour une année à une quinzaine de familles.

    Pour tous renseignements, contacter le service au T 01 43 57 11 01. Permanence des rendez-vous les jeudis et vendredis.
  • À double voix

    À double voix

    2020-02-10

    5 années durant, la direction générale de la Fondation OPEJ fut mise en musique par une conversation permanente, composée d’imagination et de réflexions vivantes. La solitude du soliste n’existait pas car la dualité offrait ce chemin de dialogue continu, où les priorités laissaient toujours la place à l’autre.

    Ici ou là, s’exprimaient des questions, apparaissaient des étonnements, aussi des encouragements, quelquefois des objections. Pourtant, l’harmonie provient bien souvent de la conjugaison de plusieurs sons, surtout quand elle est recherchée avec patience, exigence et créativité.

    1er acte : écrire, se rencontrer, célébrer

    L’oralité si chère à l’OPEJ, transmise de génération en génération, devait se transformer et passer à une transcription matérielle ; pour que la parole laisse trace et résonne indéfiniment.

    « Accueillir l’autre », titre du recueil de témoignages d’enfants et de professionnels, racontant leur parcours et leur rencontre, essentielle à leur construction de vie.
    Édité en juin 2015 lors de l’anniversaire des 70 ans, ce fut aussi l’occasion de soutenir la passerelle entre les enfants d’hier et ceux d’aujourd’hui, où se sont rassemblés à la maison d’enfants de Rueil-Malmaison plus de 250 « anciens », avec l’appui de l’association LAO (les Anciens de l’OPEJ) autour de « l’histoire et la mémoire »; au Château de Maubuisson, avec 400 invités pour le « festival des cultures », cet événement unique a réuni les familles accompagnées et suivies par la fondation.

    De grandes aventures sont partagées avec les équipes du Groupe Edmond de Rothschild, sous l’impulsion de la présidence d’Ariane et de Benjamin qui ont ouvert leur porte et leur générosité.
    Faire voyager les enfants en voiture (Tour Auto), en bateau (départ du Gitana à Saint-Malo), organiser des rencontres de parrainage et de découverte des métiers, visiter les fermes, les ruches…
    Le gala au Cabaret Sauvage en janvier 2016, grande fête à l’image de l’OPEJ où l’enfant était au coeur de la soirée et qui attesta de l’attachement entre la Fondation OPEJ et la famille Rothschild autour des valeurs de responsabilité et de philanthropie. 


    2e acte: penser, s’engager, créer

    De cette co-direction est née ainsi de nouvelles modalités de travail, innovantes et novatrices.

    La création de dispositifs et le développement d'activités dans le Val d’Oise, à Paris et dans les Hauts-de-Seine ont permis de faire rayonner la fondation et de valoriser son histoire et ses valeurs. Ainsi, en 2017, sont nés 2 nouveaux services éducatifs de jour ; aussi, la Maison des familles et des cultures et le Point accueil écoute jeunes mutualisent leur espace à Paris 11e. 

    Cette orchestration, menée par les deux chefs que nous étions, a produit une énergie inaltérable, suivie par les équipes d’aujourd’hui et assurées pour celles de demain.
    Les 200 professionnels ont offert leur voix à travers le lancement du projet associatif, qui se poursuivra en 2020.
    Il nous appartient aujourd’hui de poursuivre la réflexion en préservant le passé et en inscrivant la fondation dans de nouvelles voies du champ de l’éducatif et du social.

    De 1992 à 2019, la partition de Gad Elbaz à la Fondation OPEJ fut d’une richesse incroyable, tant sur le plan culturel qu’éducatif. Toutes celles et tous ceux qui ont eu la chance de le rencontrer et de recevoir sa parole, savent, « ô combien », son écoute et sa disponibilité furent précieuses.
    Il répétait souvent « l’homme passe, le projet perdure »; en somme, nous pourrons dire, l’éducateur est un passeur.

    Johan Zittoun
    (ex-co) directeur général
    février 2020

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Publications

  • Rapport annuel 2021

    Rapport annuel 2021

    2022-10-03
    Un projet engagé et renouvelé


    L’année 2021 fut à nouveau marquée par la crise sanitaire et ses conséquences sur les enfants, jeunes et familles.
    Nos équipes professionnelles ont su, comme en 2020, s’adapter avec agilité et déployer des dispositifs intelligents.

    Téléchargez ici le rapport annuel 2021
  • Rapport annuel 2020

    Rapport annuel 2020

    2021-09-07
    Retour sur une année historique

    L’année a été traversée par une crise sanitaire d’une portée sans précédent, qui a impacté toutes les populations du monde entier. 
    L’engagement de l’OPEJ est relayé par le rapport annuel, rendez-vous incontournable, dont le format se distingue cette année, afin de créer un objet clairement à part.

    Télécharger ici le rapport annuel 2020
  • Revue de presse

    2021-07-01
    L'OPEJ dans la presse



    La flamme de la résistance ne s'éteindra pas. Nathan Kretz in Communauté Nouvelle 
    N° 218
    Consulter l'article

    À Sarcelles, des éducateurs, face à la guerre des bandes. David Prochasson in ASH N°3215
    Consulter l'article


    Les vacances solidaires de la Fondation OPEJ. Yaël Scemama in Actu J N°1396
    Consulter l'article


    L'après-attentat : Les services de soutien psychologique à l'épreuve. Jonathan Alesksandrowicz in Act J N°1367
    Consulter l'article

    Nous sommes fiers des valeurs de l'OPEJ. Yaël Scemama in Actu J N°1352
    Consulter l'article

    Le gala du 70ème anniversaire de l'OPEJ. Yaël Scemama in Actu J du 14012016
    Consulter l'article

  • Rapport annuel 2019

    Rapport annuel 2019

    2020-12-09
    L’année a été marquée par un fort développement de nos services pour accompagner, écouter, soutenir les familles et les enfants et accueillir leur complexité sociale et éducative.
    Nos missions de protection de l’enfance, de soutien à la parentalité, de prévention éducative et d’accueil inconditionnel des jeunes pour leur pleine insertion, sont ainsi portées, avec conviction et engagement, par nos équipes pluridisciplinaires.

    Retrouvez les activités et les événements de tous les services de la Fondation.
    Télécharger ici le rapport annuel 2019.
  • Rapport annuel 2018

    Rapport annuel 2018

    2019-12-01
    La Fondation OPEJ s’est particulièrement attachée à promouvoir des projets d’inclusion sociale pour lutter contre la précarité et la fragilité des jeunes et des familles suivis.
    Le professionnalisme de nos équipes pluridisciplinaires, l’engagement des membres du Conseil d’Administration de l’OPEJ, la confiance et la fidélité de nos partenaires publics, l’apport de nos divers partenariats ont été essentiels à la réussite de ces actions.

    Retrouvez les activités et les évènements de tous les services de la Fondation.
    Télécharger le rapport annuel 2018 de la Fondation OPEJ.
  • Rapport annuel 2017

    Rapport annuel 2017

    2018-11-08
    En 2017, l'accueil, l'écoute, l'orientation proposés toute l'année dans nos services et établissements ont permis à plus de 3000 personnes de bénéficier d'une mesure d'aide, d'orientation ou de protection. La confiance construite chaque jour est une force qui installe l'OPEJ aux côtés de chaque enfant et sa famille.
    Retrouvez les activités et les évènements de tous les services de la Fondation.
    Télécharger le rapport annuel 2017 de la Fondation OPEJ.
  • Rapport annuel 2016

    Rapport annuel 2016

    2018-01-02
    L'année 2016 a été déterminante dans la définition des objectifs des 3 années à venir. Les missions ont été redessinées autour de grandes orientations : prévenir, protéger et accompagner.
    Retrouvez l'ensemble des événements de la Fondation et l'actualité des services.
    Télécharger le rapport annuel 2016
  • Whoozart : 70 ans de l'OPEJ

    Whoozart : 70 ans de l'OPEJ

    2015-06-16
    Whoozart, la Webtv arts, cultures et société a réalisé une émission spéciale sur les 70 ans de l’OPEJ.
    Ce document est disponible ici.
  • Rapport annuel 2015

    Rapport annuel 2015

    2017-05-19
    L’année 2015 est une date anniversaire pour l’OPEJ : durant 70 ans, elle a su se renouveler, se diversifier, créer des partenariats pour porter toujours plus loin l’épanouissement des enfants, des jeunes et de leurs familles pour une autonomie et un bien-être retrouvés. Retrouvez l’ensemble des évènements des 70 ans et l’actualité des services pour l’année 2015.
    Télécharger le rapport annuel d'activité 2015.
  • Accueillir l'autre. De l'oeuvre de protection des enfants juifs à la Fondation OPEJ

    Accueillir l'autre. De l'oeuvre de protection des enfants juifs à la Fondation OPEJ

    2017-05-19
    Pour célébrer le 70ème anniversaire de l’OPEJ, la Fondation OPEJ Baron Edmond de Rothschild publie Accueillir l’autre. Cet album réalisé à partir de dizaines d’entretiens avec des témoins de son histoire, enfants et éducateurs est illustré de photographies de photographes contemporains et de documents d’archives. C’est un beau livre à lire autant qu’à regarder.

    L’album Accueillir l’autre est à l’image de la diversité des femmes, des hommes et des jeunes de l’OPEJ, des 30 cultures différentes qui y sont représentées et des multiples formes d’aide qu’elle met en oeuvre : il évoque l’OPEJ de 1945 tout en faisant découvrir la Fondation OPEJ de 2015; il est à l’écoute de la voix des témoins, enfants et éducateurs; il fait entendre leur vécu : l’arrivée, la vie quotidienne, les fêtes, le départ; il évoque leurs lieux : Marseille, Rueil- Malmaison, Maubuisson, les colonies de vacances ; il fait revivre quelques-unes des grandes figures de l’OPEJ ; il fait visiter les services ouverts d’aujourd’hui; il donne la parole à des personnalités qui éclairent son action : les grands rabbins Sirat et Bernheim, le rabbin Pauline Bebe et le Dr Cyrulnik.

    Sans réduire la diversité des voix individuelles, ce bel album témoigne de la continuité de l’action de la Fondation OPEJ et de sa fidélité à l’esprit de résistance qui animait ses fondateurs, issus de l’Armée juive clandestine et du Service d’évacuation et de regroupement des enfants.
    ‣ 256 pages
    ‣ illustrations couleurs ‣ 18x26 cm
    ‣ juin 2015
    conception et réalisation éditoriale : Philippe Blanchard, La Compagnie d’écriture
    création et réalisation : Maison Sagan
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